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Espace conférencier

Redéfinir les modèles d’organisation et les systèmes de management. Placer l’humain au cœur du développement des entreprises. Être heureux au travail. Partager. Grandir. Face aux mutations sociétales qui nous traversent, de nombreuses entreprises souhaitent se tourner vers des modèles organisationnels plus vertueux, en centrant leurs efforts autour des thématiques du bonheur et bien-être, du collectif ou encore du leadership et du management. Pour une entreprise libérée, misons sur ces valeurs lors des évènements professionnels à venir.

Le bonheur et bien-être pour une entreprise libérée

La recherche du bonheur et du bien-être est un besoin humain fondamental. L’Homme heureux est plus susceptible de produire des résultats positifs et d’engager l’ensemble de ses actions dans ce sens.

Repenser l’organisation du travail pour plus de bonheur et de bien-être

Dans les systèmes organisationnels traditionnels, le salarié est, bien souvent, soumis à un grand nombre de contraintes : des horaires de travail qui ne lui plaît pas forcément, un rythme souvent très soutenu ou des objectifs parfois inatteignables.

Dans cette configuration, il est difficile pour lui de développer son potentiel, d’être force de proposition et d’envisager son emploi comme vecteur de bonheur et de bien-être.

Allier bien-être avec productivité 

Dans une entreprise libérée, les mentalités mutuelles (employés comme chefs d’entreprises) évoluent. En poussant les initiatives de ses salariés, le manager donne une plus grande confiance à l’individu qui accroît ainsi son engagement et son autonomie dans l’exercice de ses missions. L’entreprise libérée entend ainsi libérer les salariés. Cette libération se base sur un auto-contrôle et une auto-gestion du salarié sur lui-même, qui tend à accroître sa productivité, et de fait, ses résultats.

Une organisation libre, mais structurée

Offrir une plus grande autonomie à ses salariés n’est pas synonyme de chaos et de perte de productivité. Au contraire, l’entreprise libérée crée des systèmes de valeurs qui régissent l’organisation d’une entreprise. Les règles ne sont plus là pour contraindre, mais pour organiser l’espace de liberté nécessaire à chacun pour faire ce qu’il a à faire.

Le collectif pour une entreprise libérée

Atteindre des objectifs dans l’intérêt de l’entreprise en tant qu’une seule et même entité devrait se baser sur une prise de décisions communes où chacun a la liberté d’exprimer son point de vue.

L’individualisme versus le collectif 

Une entreprise possède souvent un système à deux vitesses : d’une part, un manager qui contrôle. D’autre part, un salarié, seul, qui tente d’atteindre les objectifs fixés par ses dirigeants. Le système traditionnel au sein des entreprises tend ainsi à considérer davantage les performances individuelles plutôt que l’effort collectif.

Des valeurs communes pour une entreprise libérée

À travers un système de valeurs partagées, le salarié se trouve alors dans les meilleures dispositions pour développer son potentiel et ses objectifs. L’ensemble des employés sont responsabilisés dans leurs missions individuelles, mais prennent part à l’action collective de l’équipe. Cette interdépendance entre chaque individu aurait plus de chance d’atteindre le résultat de performance escompté par l’entreprise.

Une action collective organisée

En plaçant le dirigeant et l’employé sur un même pied d’égalité, la voix du collectif tend à s’affirmer tout en renforçant par la même occasion les relations au sein d’une entreprise. Le collectif laisse tout aussi bien l’opportunité à chacun de prendre des décisions, assumer des responsabilités et faire face à des problèmes.

Le leadership et le management pour une entreprise libérée

Bien souvent, la réticence d’un salarié à se rendre sur son lieu de travail s’explique par un mauvais management et un leadership absent.

Un système horizontal et non pyramidal

Généralement et traditionnellement, une entreprise se construit sur un système pyramidal. Le chef d’entreprise se place tout en haut de la pyramide. Il dirige, oriente, contrôle. Plus bas se situent l’ensemble des salariés. Ils obéissent et atteignent leurs objectifs. En misant sur un système qui fait une croix sur la hiérarchie, les salariés sont plus susceptibles de développer une relation saine vis-à-vis de leur travail.

Un leader qui inspire, socle d’une entreprise libérée

Pour atteindre une entreprise libérée, il est essentiel que le dirigeant inspire. Le manager devient « leader », « coach » et non plus chef. Cette nuance est importante et tend à placer le dirigeant au service de son équipe. Il est responsable de cette dernière et chacun agit dans l’intérêt du collectif.

Moins de contrôle, plus de confiance

En offrant plus d’autonomie aux actions de l’ensemble des salariés, le leader permet un décloisonnement de l’organisation d’une entreprise. Mieux, il permet d’organiser différemment les relations entre ses différents salariés. Le résultat est sans appel. Une entreprise libérée est plus innovante, car davantage d’idées se développent.

Isaac Getz, le précurseur de l’entreprise libérée.

 

Auteur émérite et Docteur en philosophie, Isaac Getz s’intéresse aux modèles d’organisation conventionnels et la possibilité de création de nouveaux systèmes.

© Rodolphe ESCHER

À l’initiative du concept d’entreprise libérée

Il a notamment développé un grand nombre de concepts dont celui d’entreprise libérée, mais aussi, le management des idées, l’entreprise altruiste et le leadership. Il considère ainsi que l’organisation traditionnelle de management (la plus courante) tendrait à réduire la performance et l’innovation d’une entreprise, les salariés étant enfermés dans des systèmes contraignants qui entravent leur liberté, leur créativité et leur bonheur. Avec le développement de l’entreprise libérée, le salarié répond à ses besoins humains au sein de son espace professionnel. Isaac Getz met ainsi en relation les thématiques de Leadership & Management, d’Innovation et de Collectif.

Réconcilier bonheur et travail avec Alexandre Gérard

Alexandre Gérard s’intéresse à la psychologie et la philosophie des modes de management. Manager lui-même, il s’efforce de créer de nouveaux systèmes d’organisation au sein des entreprises. En instaurant un environnement bienveillant, les équipes ont plus de poids pour s’épanouir dans leur travail.

Portrait d'Alexandre GÉRARD
© Philosophie et management

Un manager à l’origine de la libération des entreprises

Manager à l’écoute, Alexandre Gérard accompagne ses salariés dans une démarche de libération, à savoir, un nouveau modèle de management qui se libère des systèmes traditionnels. Il est ainsi convaincu que le développement personnel au sein des entreprises permet d’atteindre de plus grandes performances. Des employés épanouis sont ainsi plus susceptibles de produire des résultats positifs. Son parcours, son expérience et ses nombreuses anecdotes, lui permettent de challenger les thématiques de Leadership & Management, de Collectif, de Succès & Échecs et d’Innovation.

Redéfinir les modèles d’organisation et les systèmes de management est au cœur des objectifs d’une entreprise libérée. En centrant ses efforts sur le bonheur et le bien-être, le collectif ou encore le leadership, elle permet de créer un environnement de travail propice au développement personnel de ses salariés, et de fait, au succès de l’entreprise.

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