Un breton à l’origine du Vendée Globe
Denis d’origine bretonne, rêve à l’école en dessinant des bateaux, face à l’ennui en pension dont il dénonce l’obscurantisme. Son père adorait la mer…sa mère la montagne. Il largue les amarres en 1968 où il devient marin-pêcheur durant 3 ans. Il commence à s’intéresser aux ressources halieutiques. Denis plus à sa place : la liberté possède des contradictions et dès 1971, il devient un skipper professionnel pendant 10 ans.
Mais au fond de lui résonne la quête du sens. À la tête d’un équipage en 1989, il organise le 1er Vendée Globes, ils sont 7 décideurs. Il veut promettre les courses à l’histoire, l’économie… II propose alors un laboratoire en équipant chaque bateau avec 4 générateurs qui fonctionneraient à l’eau, au vent, au soleil et au fossile, pour réduire le coût des bateaux du Vendée Globe en mettant l ‘homme au centre.
Un navigateur engagé
Il essuie un refus, alors il se tourne vers la fondation Hydros en 2013, dont le but est d ‘imaginer le bateau marchand de demain. En 2015, Denis passe à un engagement actif et productif au service de la planète; les technologies via les startups n’arrivent pas jusqu’aux marins. Il désire promouvoir les nouvelles technologies et répondre aux enjeux énergétiques et environnementaux des industries nautiques et de marine.
Il crée l’association 5e élément pour favoriser la recherche, le développement, la promotion des Green technologies. L’international Cleantech Week voit le jour en juin 2018, à Annecy. Quelque 80 startup et plus de 7 000 visiteurs plébiscitent l’événement.
